Dans ce livre, j'ai voulu défendre la cause de ces réfugiés que l'on nomme migrants avec parfois inquiétude, intolérance, incompréhension. Je défends aussi le livre jeunesse comme vecteur d'ouverture au monde. L'enfance a cette fraicheur, cette candeur qui remettent en cause les idées bêtement reçues.
Erreur dans l'article : le livre s'est vendu à bien moins de cent mille exemplaires mais ça n'est pas grave, je ne tiens pas à battre des records. Je suis un colibri qui travaille avec conviction pour éteindre un incendie qui me dépasse.
N'hésitez pas à voter, la culture a une valeur inestimable.
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